
©NOMADES Studio 2018
" Parmi les personnalités les plus marquantes de cette soirée, citons la mezzo Ambroisine Bré (…) projetant sa voix suave et pleine de couleurs, maîtrisant ses graves et offrant de belles ruptures "
bachtrack.com - Compte rendu Paris Opéra Compétition 2017 – Janvier 2017
" Ambroisine Bré aussi capiteuse lullyste que Chérubin mozartienne "
Resmusica.com - Alceste de Lully à Beaune: La leçon de musique des Talents Lyriques - Juillet 2017
" À Ambroisine Bré et sa pianiste Qiaochu Li revient le Grand Prix de Duo. A nouveau, son intense musicalité et sa profonde simplicité forcent l’admiration. Elle se révèle autant à son aise dans Lili Boulanger (Reflets) que Sibelius, Duparc (une très émouvante Chanson triste) que Poulenc (Nos souvenirs qui chantent, d’une élégance et d’un charme prégnants) ou Kurt Weill (Surabaya Johnny) et parvient à créer un merveilleux espace poétique dans l’ouvrage de B. Mernier, finement secondée par le clavier de Q. Li. La mention spéciale pour l’interprétation du Sonnet de B. Mernier revient d’ailleurs au duo Bré-Li "
Concertclassique.com - Finale du 9ème concours de chant-piano Nadia et Lili Boulanger - Octobre 2017
" C’est un spectacle bouleversant ! (…) Ambroisine Bré s’y montre exceptionnelle dans un rôle de femme d’aujourd’hui, au bout du rouleau, perdue et lucide à la fois. Sa performance vocale et théâtrale est la marque d’une grande artiste. "
journalzibeline.fr - Vanda, opéra de chambre de Lionel Ginoux à la Chartreuse – Mai 2018
" Pour sa première venue au Festival, la mezzo-soprano dompte instantanément l’espace par un long crescendo, montrant dès les premiers instants une voix ample et projetant avec aisance. Très vibrée, elle se fait rapidement incandescente, les « r », bien roulés et légèrement appuyés, paraissant comme autant de petites flammèches attisant des volutes sonores aiguisées. Veloutée et ronde dans les médiums, elle se tend en des aigus cuivrés (…) qui s’arbore d’une couleur de sopraniste en des notes légères et frétillantes (…) s’élevant diaphanes en voix de tête. "
Olyrix.com - Histoire d'Apaches à Montpellier avec Ambroisine Bré – Août 2018
" Son agilité sur toute la tessiture met en valeur les lignes mozartiennes richement ornées du Laudamus te. Son timbre florissant et précis dévoile la grâce mélodique de l’air, dans le style des airs d’opéra. Elle concerte avec la soprano lors du duo Domine, apportant la chaleur de son timbre de mezzo et des aigus affirmés. "
Olyrix.com - Grande Messe de Mozart par Minkowski à la Philharmonie – Décembre 2018
" Ambroisine Bré, est convaincante, par sa musicalité et par sa diction ; on attendra donc avec intérêt de la découvrir dans les opéras que ces cantates ne font que promettre d’un peu trop loin. "
Resmusica.com – Christophe Rousset défend le baroque français à Berlin - Décembre 2018
" La jeune chanteuse Ambroisine Bré a déjà beaucoup fait parler d'elle sur ces pages (et elle continue sur cette voix) : Après sa révélation par l'Adami, son triomphe aux Mozart de l'opéra, son succès aux Voix Nouvelles 2018, ses Histoires d'Apaches à Montpellier et la venue d'enfants nombreux à l’Opéra de Reims pour la création du Miroir d’Alice... Outre Cannes, elle sera également à l'affiche de trois événements mozartiens très attendus : la Messe en ut à la Philharmonie de Paris, La Clémence de Titus par Christian Schiaretti à Tourcoing et l'envoûtante Flûte enchantée par Romeo Castellucci lors de son passage à Lille.
C'est ainsi une voix prometteuse qui prête son souffle nouveau à un compositeur resté trop longtemps silencieux...
La verve est aussi celle, sensuelle et bucolique, fleurissant dans les salons XIXe siècle. Le "Papillon bleu" volette vers "Mignonne puisque c'est l'automne", "Le chemin creux" mène à "Emina ma belle". Les roses s'y effeuillent comme les lèvres. Le registre mezzo d'Ambroisine Bré, bien arrondi dans les graves et sachant fuser aussi bien que voleter vers l'aigu en conservant son ancrage, sied merveilleusement à cet univers terrestre et céleste.
Dans le pays du Contraste, Eugène Anthiome fait déguster le nectar et l'Ambroisine… "
Olyrix.com - Le Contraste d'Eugène Anthiome : le nectar et l'Ambroisine – Décembre 2018
" Ambroisine Bré nous émut en Syrinx autant qu’elle nous fit rire en Iris, dans une délicieuse scène de marivaudage avec Mercure "
Telerama.fr - Lully et Haendel en majesté au Festival de Beaune – Juillet 2019
" La mezzo-soprano Ambroisine Bré [...] laisse éclater, dans une diction claire, des aigus riches sur les syllabes finales du premier Magnificat."
Olyrix.com - J.S. Bach, Magnificat (Les Talens Lyriques, Chr. Rousset) - Novembre 2019
" Confirmation totale pour Ambroisine Bré (...) son Lazuli lui permet enfin d’éclater avec un personnage de premier plan où elle comble toutes les espérances qui avaient pu être placées en elle. A l’espièglerie du jeune colporteur elle ajoute un timbre superbe et une diction précise qui donnent à penser qu’elle ira loin et qu’elle n’a pas fini de nous surprendre."
Forum Opéra - l'Etoile de Chabrier (La Grande Écurie et la Chambre du Roy, Alexis Kossenko) - Janvier 2020
" En Lazuli, Ambroisine Bré (qui nous confiait en interview faire confiance à sa bonne étoile) ne ménage pas ses efforts, bondissant, rampant, dansant, embrassant, sautant, roulant avec une gouaille et un appétit formidables. Ses deux "tubes" qui s’enchaînent dès le début de l’opéra (« Je suis Lazuli » et la Romance à l’Étoile) mettent en valeur un médium vibrant, chaud et gaillard, un phrasé dynamique avec un vibrato rond et vif."
Olyrix.com - Ambroisine Bré Etoile montante de Tourcoing - Janvier 2020
" La ribambelle d’aigus à la pureté cristalline d’Ambroisine Bré débute par une portée puissante qu’elle atténue intelligemment sous les soupirs de Chérubin à présent interloqué. La mezzo conserve une articulation ciselée malgré la vélocité de cet air, et cette qualité de diction qui dispense largement de sur-titrage se ressent tout autant dans le français de L’Heure exquise et dans le premier air en allemand, celui d’Orlofsky tiré de La Chauve-Souris de Strauss. Elle s’amuse visiblement sur scène, étire les syllabes sur "die Flasche an der Kopf" (la bouteille sur la tête), dispense des mediums corsés et offre une cascade vocale qui se jette dans les graves. Les mediums prennent une profondeur adéquate pour Mahler, et les graves veloutés d’Orlofsky deviennent justement profonds et émouvants pour Ich bin der Welt, comme une preuve ultime de la capacité d’adaptation de la mezzo, jouant des nuances pour amuser et émouvoir. "
Olyrix.com - Clôture du Festival de Fénétrange, les Heures Exquises - Octobre 2020
" La richesse des passions est portée avec maîtrise et amplitude, dans les tenues et virtuosités des cordes, dans les riches appuis et l'ancrage des cordes vocales. Les phrasés s'intensifient et s'animent selon les registres émotionnels pour l'ensemble des musiciens et selon les registres vocaux pour Ambroisine Bré. Son médium et son grave posent l'intensité des drames, ses fulgurances vers l'aigu délaissent la pure beauté du son pour illustrer par le risque vocal, celui de l'amante et du drame. La chanteuse marque ainsi d'une manière d'autant plus claire les passions éplorées et endolories (comme elle le faisait notamment pour Les Larmes de la Vierge noire au Festival de La Chaise-Dieu l'année dernière)."
Olyrix.com - Amour Amor baroques à l'Opéra de Rouen - Décembre 2020